En 2019, elle n’avait pu réprimer un gros soupir de soulagement à l’annonce du résultat très serré de son élection. Son regard s’était perdu dans le vide quelques fragments de seconde. Puis l’ancienne ministre de la Défense allemande (CDU), candidate surprise à la succession du Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, avait porté sa main droite à son cœur, exprimant tout à la fois le soulagement et la gratitude. Elle venait d’être élue première présidente de la Commission européenne.
Cette année, Ursula von der Leyen, qui a gagné sa notoriété hors d’Allemagne en gérant à coups de SMS les commandes européennes de vaccins pendant la pandémie de Covid, brigue un deuxième mandat à la tête du vaisseau amiral de l’Union européenne : la Commission. Ses 32 000 fonctionnaires sont chargés de surveiller les finances des pays membres, de proposer les textes de loi européens, de gérer les 170 milliards de fonds distribués chaque année par l’Union ou encore d’esquisser les stratégies commandées par les chefs d’État et de gouvernement.
Mais, alors que le jour du vote approche, personne en Europe ne se risquerait à présumer l’expression qui s’affichera sur son visage jeudi vers 14 h 30, quand on connaîtra le résultat du vote à bulletin secret des 720 députés devant lesquels elle aura présenté son projet de mandature le matin même.
Trop « macronienne » ?
Depuis deux semaines, elle a enchaîné des dizaines d’heures de réunions, annulant au passage sa participation au sommet de l’Otan à Washington, pour se dégager du temps. Elle a consulté dans tous les formats possibles : chefs des partis, groupes politiques, délégations nationales, tête-à-tête… et continuera probablement à le faire jusqu’au dernier moment.
Il y a cinq ans, démocrates-chrétiens (PPE), socialistes et libéraux auraient dû lui donner 68 voix de plus que la majorité absolue de 376 voix nécessaires. Elle fut élue à 9 voix près. Une partie de son camp et de ses alliés socialistes, notamment les Français, ne l’avait pas soutenue. Les Verts avaient voté contre. Elle dut son salut, dit-on, à l’aile droite du Parlement où siègent les conservateurs et réformistes du CRE.
À présent, la même alliance au centre ne lui donnerait que 39 voix d’avance, en raison de la poussée de la droite souverainiste et du revers subi par les Verts et les libéraux. Avec un taux de déperdition estimé à 10 ou 15 %, jouer la même carte qu’il y a cinq ans serait suicidaire.
« La différence, cette fois-ci, c’est qu’elle a un bilan », explique un élu de droite qui préfère rester anonyme. Personne dans sa famille politique ne voudrait en effet cautionner la désunion. Le bilan d’Ursula von der Leyen, ce sont notamment les 50 textes du « green deal » qui, pendant la dernière année de mandat, ont déchiré le PPE, mis sous pression par le public et notamment par les agriculteurs de plus en plus sceptiques sur les sacrifi ces demandés pour atteindre la neutralité carbone en 2050.
« Elle a fait des erreurs, elle en paye le prix »
On lui reproche d’avoir été trop « macronienne » et de le rester. Le programme qu’elle a présenté à huis clos devant la puissante Conférence des présidents des groupes politiques du Parlement, le 4 juillet, serait très inspiré du deuxième discours de la Sorbonne du président français : une lourde insistance sur l’État de droit, plus de capacité d’emprunt européen, des moyens décuplés pour la défense et la transition écologique et numérique.
Très souvent présente en plénière au Parlement, elle n’aurait pas « fait le job » avec son propre groupe, contrairement à son mentor, la chancelière Merkel, qui passait des heures à chuchoter à l’oreille des députés de la CDU/CSU dans les coursives du Bundestag. « Elle a fait des erreurs, elle en paye le prix », assure un autre élu, qui lui non plus ne souhaite pas être nommé. Signe d’un certain flottement à droite, le PPE et ses 188 élus n’ont toujours pas publié leurs « priorités » pour le mandat à venir, contrairement aux Verts et aux socialistes, qui négocient sur cette base.
C’est un des paradoxes de ce début de cycle politique, qui a vu la poussée de la droite de la droite : les Verts, avec leurs 54 élus, les libéraux, relégués au cinquième rang des groupes politiques par la constitution des Patriotes pour l’Europe à l’initiative du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, et les socialistes se veulent faiseurs de roi (ou reine). « Elle est tenue par ces groupes [les socialistes et les Verts], alors qu’ils ne garantissent pas une majorité, explique une autre source. Tout ce qu’elle gagne d’un côté, elle le perd de l’autre. »
« Un oui ou un non »
Mercredi, le coprésident du groupe des Verts, le Néerlandais Bas Eickhout, expliquait après un huis clos avec la présidente : « Cela va dans le bon sens, mais on a encore besoin d’un peu de négociations… On a une semaine. La conclusion sera un oui ou un non. » Il demande avant tout des garanties sur le « pacte vert » dont il reste une soixantaine de textes en négociation ou à présenter, selon le décompte du Parlement.
Une alliance avec les conservateurs du CRE, et notamment les 17 élus de Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni, n’est pas exclue mais elle devrait être tenue secrète. Les libéraux, qui viennent de réélire la Française Valérie Hayer (Renaissance) à la tête de leur groupe, ont levé le drapeau rouge : pas question de donner des garanties à une candidate qui « toperait » notamment avec le très conservateur PiS polonais, ennemi des homosexuels et rétif au droit à l’avortement. Côté socialiste, on assure avoir obtenu la création d’un poste de commissaire au logement (pourtant pas une compétence européenne) qu’on aimerait doté d’un solide budget, plus des garanties sur l’accompagnement social des politiques écologiques.
Multiplier les promesses non financées est cependant périlleux. En Europe, ce sont les États qui paient, notamment le sien, où la question du contrôle du budget de l’Union a toujours été source de critiques, y compris dans son camp.
Son prédécesseur José Manuel Barroso avait été réélu en 2009 avec 53 % des voix, perdant 5 % par rapport à son premier mandat. Ursula von der Leyen n’a obtenu que 51 % en 2019. Si elle ne devait pas réunir les 361 suffrages dont elle a besoin jeudi, les chefs d’État et de gouvernement auraient un mois pour présenter un nouveau candidat.
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Examen des Recherches : Étudiez le flux de recherches de votre marque sur les plateformes de recherche.
Mémorisation de Marque : Testez la faculté des clients à rappeler votre enseigne dans des scénarios spécifiques.
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Alliances Stratégiques : Travaillez avec d’autres sociétés pour mutualiser vos efforts de communication et atteindre de nouveaux publics.
Les KPI pour suivre la notoriété incluent le quantité de références sur les réseaux sociaux, les taux de reconnaissance et de mémorisation de la marque, le volume de recherche de la enseigne et les retours des études de visibilité.
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