Il était connu comme le sixième membre de NSYNC, mais la réalité derrière Lou Pearlman était bien plus sinistre que ce que le groupe pop américain avait jamais imaginé.
Un nouveau documentaire Netflix, Dirty Pop: The Boyband Scam, a révélé la triste vérité derrière le magnat de la musique américain qui a fondé certains des plus grands groupes pop des années 90, dont les Backstreet Boys.
Mais pendant que le manager de talents était occupé à distraire les masses avec un flot de succès des années 2000, il dirigeait l’une des plus longues escroqueries de Ponzi de l’histoire américaine, convaincant les banques et les particuliers d’investir dans sa société fictive.
Pearlman a gagné des millions grâce à de jeunes musiciens manquant de connaissances sur le fonctionnement interne de l’industrie musicale, ce qui lui a permis de payer les Backstreet Boys seulement 35 $ (27 £) par jour tout en vendant 70 000 disques à leur apogée.
Aujourd’hui, la docu-série raconte le parcours de l’escroc vers des sommets vertigineux et sa chute en disgrâce qui l’a vu condamné à 25 ans de prison pour conspiration, blanchiment d’argent et fausse procédure de faillite.
Le passé trouble du manager de talents américain Lou Pearlman (photographié en 2005) est le sujet de la dernière docu-série de Netflix, Dirty Pop: The Boyband Scam
Avant d’entrer dans le monde de la musique, Pearlman a d’abord dirigé une entreprise de location d’avions, selon le Guardian.
Mais lorsqu’il a affrété un avion pour le boys band New Kids on the Block au milieu des années 80, il a vu combien d’argent il y avait dans l’industrie et a décidé de changer de carrière.
Il quitte New York pour Orlando et se présente comme « Big Poppa ». Avide de capital culturel et financier, Pearlman se lance à la recherche de ses propres protégés au visage de bébé et organise des auditions publiques autofinancées.
Il a lancé son label – Trans Continental Records – pour imiter le modèle économique des New Kids of the Block, dans l’espoir de trouver des niveaux de succès similaires avec d’autres idoles.
En 1992, Lou a publié une annonce dans l’Orlando Sentinel pour trouver des chanteurs masculins pour former son tout premier groupe, selon Vanity Fair.
Un an plus tard, il a trouvé cinq chanteurs masculins pour former les Backstreet Boys, avec sa femme Donna et l’ancien manager des New Kids on the Block chargés de les gérer.
Dès le départ, Pearlman a gâté les garçons comme s’ils étaient déjà les plus grandes stars du monde, dépensant des sommes astronomiques en jets privés et autres modes de transport de luxe lors de leurs tournées dans les centres commerciaux.
Le groupe, formé par Nick Carter, Howie Dorough, AJ McLean et leurs cousins Brian Littrell et Kevin Richardson, est devenu l’un des boys bands les plus vendus de tous les temps, obtenant des disques d’or, de platine et de diamant dans près de 50 pays.
Pearlman a aidé NSYNC à devenir célèbre dans le monde entier (sur la photo : Lou Pearlman pose avec N’Sync Chris Kirkpatrick, JC Chasez, Lance Bass, Joey Fatone et Justin Timberlake vus dans une pizzeria NYPD à Miami, 1996)
Des Backstreet Boys à NSYNC et O-Town, Pearlman a contribué à former certains des plus grands boys bands des années 90 (sur la photo : Lou Pearlman pose avec le boys band O-Town, Jacob Underwood, Ashley Parker Angel, Erik Estrada, Trevor Penick et Dan Miller à New York, 2001)
Lorsqu’il croise plus tard le chemin de NSYNC, un groupe pop précédemment formé par Chris Kirkpatrick, il prend le groupe comme manager.
Comme les Backstreet Boys, NSYNC est également devenu célèbre en vendant des millions de disques dans le monde entier.
Ses succès ont consolidé sa position de magnat de la musique, sans parler des divers autres groupes qu’il a dirigés, notamment O-Town, Take 5 et Natural.
Mais dans les coulisses, Pearlman trompait les investisseurs en les obligeant à leur confier toutes leurs économies.
En voyageant dans les coulisses après les concerts et en voyant de première main la légion de fans que les groupes ont rassemblés, les investisseurs étaient impatients d’obtenir leur part du gâteau.
Pendant 20 ans, Pearlman a encouragé les investisseurs à investir dans Trans Continental Airlines et Trans Continental Airlines Inc, qui, selon lui, comprenaient la maison de disques et le studio de musique.
Cependant, les deux sociétés n’existaient que sur le papier, Pearlman ayant développé une fausse banque allemande et un faux cabinet comptable en Floride pour faire paraître ses sociétés fictives légitimes, selon le Crime Museum.
Aux yeux du monde extérieur, Pearlman était un magnat de la musique capable de transformer des garçons ordinaires en sensations mondiales (Lou est photographié avec le chanteur Aaron Carter en 2005)
Le manager artistique a offert aux Backstreet Boys et à NSYNC un traitement de star, y compris des jets privés, dès le départ
La nouvelle docu-série Netflix interviewe les membres du groupe pour découvrir la vérité sur Lou Pearlman
Les choses ont commencé à prendre une tournure différente lorsque les membres des Backstreet Boys ont eu l’impression que Pearlman profitait des fruits de leur travail à un taux injuste.
Ils ont enregistré des tubes, ont rempli des stades et se sont constitué une base de fans mondiale, mais en retour, ils se sont retrouvés avec une somme peu impressionnante tandis que Pearlman a empoché des millions.
Lance Bass a déclaré que le premier signal d’alarme concernant la gestion douteuse du magnat de la musique s’est produit après qu’il les ait emmenés à Los Angeles et leur ait remis des chèques de seulement 10 000 dollars.
« À la fin du dîner, nous avions toutes ces enveloppes devant nous et j’ai su que ma vie était sur le point de changer… puis j’ai ouvert le chèque et c’était 10 000 $ », a-t-il révélé dans une interview télévisée ABC.
« Je savais que nous avions travaillé très dur, donc je savais quel devait être ce chèque, ou ce que j’espérais qu’il serait.
« Je veux dire, dans le meilleur des mondes, un million de dollars aurait été comme : « Oh mon Dieu. C’est ce que nous méritions », a ajouté Bass à propos de son travail avec ses camarades de groupe Chris Kirkpatrick, JC Chasez, Joey Fatone et Justin Timberlake.
« Ensuite, je suis retourné à l’hôtel et c’est là que tout m’a frappé. J’étais tellement déçu que j’ai déchiré le chèque. C’est ce que j’ai fait. Je savais que quelque chose n’allait pas », se souvient Bass.
« J’étais dans le plus grand groupe du monde, mais je ne peux même pas me permettre mon appartement », a déclaré Bass dans l’interview de 20/20.
En 2007, le manager artistique a été arrêté et accusé notamment de blanchiment d’argent (sur la photo : Pearlman arrive au tribunal de Floride pour comparaître devant le tribunal afin de répondre à trois chefs d’accusation de fraude bancaire et à un chef d’accusation de fraude postale et électronique impliquant des prêts d’une valeur de 20 millions de dollars d’une banque de l’Indiana).
Les membres du groupe ont plaidé auprès de Pearlman pour récupérer leurs revenus légitimes, mais en 1998, les Backstreet Boys ont intenté un procès, devant NSYNC en 1999.
Entre 1993 et 1997, Pearlman et sa société ont engrangé 10 millions de dollars de revenus, mais le groupe n’a gagné que 300 000 dollars.
Dans leur contrat, Pearlman était censé être payé comme un sixième membre du groupe, ce qui signifie qu’il gagnerait un sixième des revenus du groupe, mais il a fini par empocher beaucoup plus.
En 1999, NSYNC a poursuivi Pearlman pour pratiques commerciales illicites, le poursuivant ainsi que sa maison de disques Trans Continental pour avoir fraudé le groupe de plus de 50 % de leurs revenus.
Comme avec les Backstreet Boys, il avait promis au groupe qu’il ne recevrait qu’un sixième de leurs bénéfices.
Les deux parties sont parvenues à un accord à l’amiable que NSYNC a signé avec Jive Records.
Il a été révélé plus tard que les Backstreet Boys n’avaient reçu que 7 800 £ (10 000 $) pour leurs années de dur labeur et qu’ils vivaient avec une allocation quotidienne de 30 £ (35 $).
Cela a marqué le début de la fin pour Pearlman, car il ne se contentait pas d’escroquer ses groupes.
Il était l’homme derrière l’une des plus grandes et des plus longues escroqueries de Ponzi de l’histoire des États-Unis, au cours de laquelle il a escroqué 300 millions de dollars par l’intermédiaire de ses sociétés Trans Continental sur une période de 20 ans.
Dans son stratagème, il a dupé 1 700 investisseurs d’un demi-milliard de dollars en les convaincant d’investir dans plusieurs sociétés écrans qui n’existaient pas.
Ces sociétés étaient Trans Continental Airlines Travel Services et Trans Continental Airlines Inc. Toutes deux n’existaient que sur papier et Pearlman ne possédait pas un seul avion.
L’escroquerie a été découverte en 2006 et Pearlman a plaidé coupable de complot, de blanchiment d’argent et de fausses déclarations.
Lorsque les enquêteurs ont enquêté sur l’affaire en février 2007, ils ont découvert qu’au moins 95 millions de dollars qu’il avait empochés auprès des investisseurs avaient déjà disparu.
L’escroc originaire du Queens a été condamné à 25 ans de prison en 2008. Il est décédé en détention fédérale en 2016 à l’âge de 62 ans.
Finalement, tous les groupes musicaux qui ont travaillé avec Pearlman ont fini par poursuivre l’escroc devant un tribunal fédéral pour fausse déclaration et fraude.
Dans la nouvelle docu-série Netflix, AJ McLean et Howie Dorough des Backstreet Boys se souviennent de leur expérience avec Pearlman, ainsi que Chris Kirkpatrick de NSYNC.
Regardez Dirty Pop: The Boyband Scam sur Netflix maintenant
Notoriété d’Entreprise : Techniques pour Mesurer et Accroître la Visibilité de Votre Marque
La notoriété d’une entreprise est un pilier fondamental de sa stratégie marketing et de sa durabilité. Elle englobe la reconnaissance et la familiarité que les consommateurs ont envers votre marque, influençant directement leurs décisions d’achat. Une grande notoriété inspire confiance chez les clients potentiels, favorisant ainsi une augmentation des ventes et de la fidélité.
Enjeux de la notoriété dans un domaine controversé
Dans un contexte concurrentiel, construire et maintenir la notoriété de votre entreprise constitue un challenge de taille. Cela requiert une compréhension clairvoyante de ce principe complexe ainsi que des stratégies efficaces pour la mesurer et la renforcer. Cette partie explore les bases de la notoriété et propose des solutions concrètes pour accroître sa visibilité sur le marché.
Méthodes pour Évaluer et Accroître la Notoriété
Nous passerons en revue plusieurs méthodes pour évaluer la notoriété de votre marque, telles que les sondages, l’analyse des médias sociaux et les études de marque. Ensuite, nous aborderons les stratégies pratiques pour renforcer cette notoriété, incluant le marketing digital, les relations publiques et les partenariats stratégiques. En appliquant ces principes fondamentaux avec assiduité, votre entreprise pourra se démarquer et atteindre une notoriété durable et significative.
La popularité d’une entreprise est un moteur essentiel de sa progression et de sa compétitivité.
En investissant dans des tactiques judicieuses et en maintenant une présence cohérente sur le marché, vous pouvez stabiliser la renommée de votre marque et fidéliser une clientèle fidèle. La construction d’une notoriété solide nécessite un dévouement constant et une adaptation aux évolutions du marché, garantissant ainsi le succès à long terme de votre entreprise.
Dans le secteur changeant du marketing, l’histoire de la société XYZ exemplifie l’rôle essentiel de la reconnaissance d’entreprise et des stratégies bien définies pour la renforcer. Fondée il y a deux décennies dans un milieu plein de compétiteurs, XYZ a dû s’attaquer à un défi de taille : se faire découvrir et se démarquer dans un domaine où la popularité est synonyme de survie.
La reconnaissance d’une entreprise représente la familiarité et à la connaissance qu’ont les acheteurs avec une marque. Elle peut se scinder en notoriété spontanée, lorsque le utilisateur cite une griffe sans aide, et en familiarité dirigée, lorsque la entreprise est connue parmi une sélection de noms. Une visibilité importante signifie que les acheteurs connaissent et se souviennent de votre entreprise, ce qui est fondamental pour attirer et retenir les utilisateurs.
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Étude des Recherches : Analysez le flux de recherches de votre griffe sur les sites de recherche.
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Affaires Publiques : Engagez-vous à des manifestations, rédigez des communiqués de presse et travaillez avec des personnalités influentes pour booster votre notoriété.
Collaborations Stratégiques : Faites équipe avec d’autres sociétés pour unir vos efforts de communication et atteindre de nouvelles audiences.
Examiner des exemples concrets réelles peut donner des suggestions importantes sur la manière d’renforcer la visibilité de votre entreprise. Par exemple, une initiative réussie de campagne numérique peut transformer une société méconnue en une entreprise renommée à l’échelle nationale.
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